Hennebont (Morbihan)

Notre Dame de Paradis 

Max Ingrand est un maître-verrier né à Bressuire (79) en 1908

 et mort à Paris en 1969.
Elève de Le Maresquier, il réalisa entre autres, des vitraux à Maison-Alfort, Montmartre, Bobigny, Les baux de Provence, le seul vitrail moderne de la cathédrale de Strasbourg 

et la grande verrière d'Yvetot…
Les vitraux ici ont été réalisés et posés en 3 phases, entre 1955 et 1965, en conservant les mêmes thèmes que ceux du 19e siècle que les bombardements de la seconde guerre mondiale avait détruits.
Ils retracent des épisodes de la vie de Marie dans le chœur et des épisodes liés à l'histoire de la ville dans la nef.

  Saint Gilles le patron d'Hennebont

  Jeanne la Flamme. En 1342, Jeanne de Flandre, épouse de Jean de Montfort, emprisonné, résista aux assauts de l'armée de Charles de Blois, dont elle incendia le camp, l'obligeant à lever le siège de la ville. D'où son surnom.

- François Michard, maréchal-ferrant, et l'abbesse Guillemette Rivallen, de l'Abbaye de la Joie, organisant la construction de ce qui deviendrait la basilique Notre-Dame du Paradis.

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